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Février 2018 - n°2
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Les diplômés dans les médias


10/11/2017
Benoît Herment nommé RSSI groupe de Vinci

Le groupe de BTP Vinci a nommé au poste de Group CISO (RSSI groupe) Benoît Herment. Celui-ci occupait auparavant un poste similaire au sein de Elior Group. Benoît Herment passe donc d'un groupe mondial spécialisé dans la restauration collective (Avenance), la restauration sous concession et sous franchise (L'Arche, Arpège, Burger King, Courtepaille, Paul...) de 120 000 collaborateurs et 5,8 milliards d'euros de chiffre d'affaires, à un géant du BTP au sens large, Vinci, également mondial avec 185 000 collaborateurs et un chiffre d'affaires de 38,5 milliards d'euros.
Diplômé de l'ESIGELEC (promo 2003), Benoît Herment a débuté sa carrière en SSII chez Prosodie avant de rejoindre, en 2003, Dassault Systèmes comme expert en systèmes d'information PLM. En 2008, il devient RSSI de Crédit Agricole Leasing Factory avant de retourner dans le conseil en 2012, chez KPMG. Il devient Group Ciso de Elior Group en 2014, dernier poste avant de rejoindre Vinci.
Benoît Herment est mentor pour l'Association Frateli qui promeut l'égalité des chances. L'association accompagne des jeunes de milieux défavorisés pour que la réussite ne dépende pas des origines sociales, économiques et culturelles mais du talent et du travail.

 Lire l’article sur https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-benoit-herment-nomme-rssi-groupe-de-vinci-69944.html



Décembre 17-n°86
C’est dans les locaux situés en plein cœur du quartier d’affaires de la Part Dieu, à Lyon que nous reçoit Arnaud Guirouvet. Fondateur et directeur général d’Agap 2, société de conseil en ingénierie spécialisée dans l’industrie, il emploie 3 800 collaborateurs qui interviennent un peu partout dans le monde. Son entreprise créée en 2005, a réalisé l’an dernier un chiffre d’affaires de 237 millions d’euros.

Malgré son jeune âge,42 ans, Arnaud Guirouvet a déjà connu un riche parcours professionnel. De son bureau qui offre une vue imprenable sur la gare SNCF de la Part-Dieu, il égrène simplement ces expériences... Après une formation classique, il passe par l’ESIGELEC, (promo 97), école d'ingénieurs à Rouen. Dès la sortie, il décide de créer son entreprise, spécialisée dans le data-mining : « Nous analysions les données pour l'industrie pharmaceutique afin d'aider les entreprises à piloter leurs ventes. Nous avions de bons contacts avec les laboratoires Merck, mais finalement cela n’a pas abouti... ». Après cette première expérience, où il se rend compte qu'il n'a pas encore toutes les cartes en main, Arnaud Guirouvet est embauché au Commissariat à l'énergie atomique, avant d'intégrer Altran en 1999, société de conseil en ingénierie, « Moi qui n'avais jamais vraiment bougé depuis mon enfance, j’ai senti le besoin de tenter une expérience internationale. Marié et déjà père d'un enfant, nous avons décidé avec mon épouse de partir dans un pays européen.» Direction le Portugal, où l'ingénieur dirige d'abord l'une des filiales du groupe, avant de se voir confier les activités du groupe pour l'ensemble du pays. « Ce fut une vraie chance, six ans seulement après ma sortie de l'école!», reconnaît-il. Quatre ans après, l'envie de changer d'air se fait une nouvelle fois sentir, et la famille, qui s'est agrandie, déménage cette fois-ci en Suède. « Nous souhaitions nous confronter à un autre environnement. Malheureusement la greffe n'a pas pris,. A ce moment-là, avec deux collègues, qui sont aujourd'hui mes associés, nous avons décidé de créer notre structure. »
Une création qui part d'un constat : en Suède, de nombreux projets ne se concrétisent pas faute d'ingénieurs, alors qu'au Portugal, de nombreux ingénieurs sont disponibles. C'est donc dans ce pays qu'en 2005, les trois associés créent une première entité. « Quelques années auparavant, j'avais été obligé de fermer l'une des filiales dont j'avais la charge, suite à la disparition de son principal client. Nous avions dû licencier la moitié des salariés. Une épreuve quand on n'a que 27 ans ! J'ai pu recruter près des trois quarts d'entre eux. Ce fut un vrai plaisir de voir qu'ils me faisaient confiance et qu'ils avaient apprécié notre collaboration précédente. »
L'année suivante, Agap 2 s'installe en France et connaît un développement important, ouvre des agences dans l'Hexagone, mais aussi en Suisse, en Allemagne, au Benelux ou en Suède, et envoie ses employés en missions un peu partout dans le monde... Une croissance qu'Arnaud Guirouvet explique en partie gràce à la subsidiarité : « Nous fonctionnons en petites cellules. Nos chefs d'équipe sont autonomes, ils ont la capacité de signer les contrats de travail, de prendre les décisions directement. Dès qu'ils ont besoin d'aide, ils peuvent solliciter leur hiérarchie. Cela génère un vrai travail d'équipe. »
(…)

Retrouver l’article sur : https://www.lesedc.org/sommaire-revue/revue-dirigeants-chretiens-n-86-partager-destination-universelle-des-biens/

2 janvier 2018
Quatre start-up de la métropole de Rouen font partie des cinquante entreprises normandes prêtes à s’envoler pour Las Vegas, où se tient le salon mondial de l’innovation technologique la semaine prochaine.

Pas de trêve des confiseurs pour les start-upers ! L’innovation et les affaires n’attendent pas pour ces jeunes entrepreneurs de la métropole de Rouen qui s’apprêtent à s’envoler pour Las Vegas. C’est à un jeu très sérieux que les quatre petites entreprises vont se prêter aux États-Unis. Elles ont été sélectionnées pour participer, du mardi 9 au vendredi 12 janvier, au Consumer Electronic Show (CES), salon mondial de l’innovation technologique. (…)

SIAtech : la commande intuitive
Un bracelet au poignet relié à une bague qui se glisse sur l’index : la télécommande intuitive qui laisse les mains libres à l’opérateur d’une machine vient tout juste de recevoir, le 31 décembre, la certification européenne CE. 2018 débute vraiment bien pour SIATech qui, après trois bonnes années à parfaire son produit et convaincre des investisseurs, se lance maintenant vraiment dans la commercialisation. « Le CES sera, paradoxalement, pour nous, l’opportunité de se faire connaître auprès des grands groupes français », explique Élie Peeters (Promo 2014), en charge de la partie commerciale et du marketing. Frédéric Hamain (Promo 2014) préside SIATech et est plus spécifiquement attaché à la gestion et la partie technique hardware. Le troisième associé, Nicolas Iriart (Promo 2014), chapeaute la partie technique software. Les trois jeunes ingénieurs sortent de l’ESIGELEC, l’École supérieure d’ingénieurs basée à Saint-Étienne-du-Rouvray. « Nous sommes sept, en comptant les stagiaires », présente Élie Peeters. Plus ergonomique qu’un boîtier à boutons, Com’Hand permet de télécommander des machines industrielles en renforçant la sécurité. Plusieurs sites industriels, qui utilisent des ponts roulants pour le levage de matériel, se sont montrés intéressés par les tests réalisés. SIATech développe aussi son produit pour les grues sans cabine. Il reste bien des domaines où cette petite commande intuitive pourrait s’imposer. « On a été contacté par une société d’explosifs, par exemple. » Pour l’anecdote, Event bots a aussi montré son intérêt pour guider ses robots !

Lire l’article sur http://www.paris-normandie.fr/actualites/economie/quatre-start-up-de-la-region-de-rouen-seront-au-ces-de-las-vegas-en-janvier-NM11842825




11 janvier 2018
Nicolas Tariot est nommé responsable des ventes et du développement commercial chez LINXO

Né en 1968, ESIGELEC (promo 92), il a débuté comme responsable marketing produit puis  responsable des ventes au sein de l'éditeur Maestro (filiale de Matif SA acquis par le groupe Euronext), avant d'exercer différentes responsabilités commerciales en France et en Europe de business development et global account au sein de l'éditeur de logiciels de Bourse GL Trade et de Sungard Financial Systems. Dernièrement, il était chargé du développement du marché français chez Temenos.




11 janvier 2018
Start-up de la semaine : Adis survole le Gabon en drone

Ingénieur d'affaires, Andy Boumah Yovo (Promo 2015) a lancé sa société de drones au Gabon.
Photographies aériennes, relevés topographiques, cartographies... Avec sa jeune société Adis (Africa Drone Ingénierie Services), l'ingénieur envoie des drones survoler sites touristiques, forêts et infrastructures minières du Gabon. Andy Boumah Yovo a 26 ans. Bon élève, il a pu intégrer les classes préparatoires du lycée national Léon Mba, à Libreville, sa ville natale, avant de poursuivre ses études d'ingénieur en France, à l' ESIGELEC, dans la banlieue de Rouen.
« J'aurais pu rester en France, j'avais des opportunités d'emploi. Mais j'ai bénéficié d'une bourse du Gabon pour faire mes études, il me semblait donc normal de rentrer une fois mon diplôme obtenu », explique le jeune ingénieur d'affaires, spécialisé dans le déploiement d'infrastructures en réseau et télécoms.
Rentrer, oui. Mais pour faire quoi ? La question ne s'est pas posée longtemps. « Pour mon stage de fin d'études, j'ai effectué des tâches d'ingénieur réseau pour l'entreprise Axion Drone. C'est la découverte de cette activité qui m'a donné l'idée de créer ma propre entreprise proposant  l'utilisation de drones professionnels , tant pour de simples photos et vidéos que pour des études topographiques ou de la cartographie », explique-t-il.
Un choix d'autant plus stratégique que le Gabon est quasiment un terrain vierge dans ce domaine.
« Bien sûr, il y a des photographes ou des vidéastes qui utilisent des drones. Mais pour la topographie destinée aux professionnels, nous ne sommes que deux, moi et un concurrent français, installé depuis 2014 », précise l'ingénieur.
(…)
 « Pour mon premier contrat, j'y suis allé au culot. Je me suis arrangé pour rencontrer le directeur général de l'Agence gabonaise de développement et de promotion du tourisme (Agatour), et je lui ai proposé mes services. Il m'a fait confiance, et c'est comme ça que j'ai fait mes premières photos et vidéos aériennes », raconte-t-il. D'autres missions ont suivi, notamment un contrat d'orthophoto (photographie permettant d'extraire les surfaces et les volumes) pour le groupe Bolloré.
« Pour l'année de lancement en 2017, nous avons réalisé un chiffre d'affaires de 9,360 millions de francs CFA. Nous visons dix fois plus pour 2018 », explique l'ingénieur qui compte décrocher des missions de cubature (relevé topologique et modélisation) dans le secteur minier et réaliser des études d'impact environnemental autour de l'exploitation des grands domaines forestiers. (…)

Lire l’article complet sur http://www.jeuneafrique.com/509186/economie/start-up-de-la-semaine-adis-survole-le-gabon-en-drone/


Un diplômé ESIGELEC, Charles Nouboué (promo 2010) distingué dans le classement « 30 under 30 »
du magazine Forbes France, qui met en lumière les 30 jeunes les plus influents de
moins de 30 ans. A 29 ans il est à la tête d’une start up, FITLE,  qui révolutionne la vente en ligne de vêtements.

Lire l’article sur http://www.studyrama-emploi.com/home_article.php?id=9000




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