ESIG'@ctu
Novembre 2021 - n°15
S'inscrire à la newsletter


Les diplômés dans les médias


25 octobre 2021
La direction d'IBM Consulting France confiée à l'ex-Accenture Axel Bauer
Ingénieur diplômé d'ESIGELEC, Axel Bauer (promo 91) a passé 11 ans chez Accenture avant de rejoindre IBM.
Marc Bensoussan laisse les rênes des activités conseil d'IBM France à Axel Bauer. Précédemment directeur général produits France, Belgique et Pays-Bas d'Accenture, le nouvel arrivant doit structurer et de développer l'ex-branche IBM Global Services. Après 11 années passées chez Accenture, Axel Bauer a été nommé directeur général d'IBM Consulting (anciennement IBM Global Services) et d'IBM Interactive en France en juillet. Depuis l'été 2014, ces fonctions étaient occupées par Marc Bensoussan. Ce dernier continue d'oeuvrer au sein de Big Blue, en tant que conseiller senior stratégie et transformation auprès de Beatrice Kosowski, la directrice générale d'IBM France. A charge pour son successeur de structurer et de développer les activités dont il a désormais la charge. Avant de rallier IBM, Axel Bauer était le directeur général produits France, Belgique et Pays-Bas d'Accenture. Recruté par le cabinet de conseil en 1991, cet ingénieur généraliste diplômé d'ESIGELEC y avait fait son entrée en tant qu'analyste, avant d'évoluer au poste de consultant, puis de manager en 1995. Il devient chef de marché produits sept ans après et se voit confier son premier poste de direction générale en 2009.



Octobre 21
L’Appli du permis
Vincent Coutey Noury et Thibaut Lannoy, respectivement diplômés de l’INSA et de l’ESIGELEC (promo 20), ont créé l'application Driiven pour faciliter le suivi des leçons de conduite en voiture. Installés à Seine Biopolis à Rouen, ils sont accompagnés par Rouen Normandie Création. « Dans les auto-écoles, les élèves reçoivent un livret d’apprentissage, une version papier, permettant de noter les progrès du candidat. L'application Driiven anticipe l’obligation réglementaire du livret numérique. Avec Driiven sur sa tablette, le moniteur enregistre les leçons de conduite, renseigne les compétences travaillées, note les erreurs et peut lier des vidéos. Le candidat et le moniteur visualisent les trajets et les erreurs lors du débriefing, en fin de leçon » explique Vincent. De son côté, le candidat a les mêmes informations. II a connaissance de I’état d'avancement de ses différentes compétences et accède à son livret depuis son smartphone, tablette ou ordinateur. Ils utilisent l'outil ensemble pour améliorer l'apprentissage.



27 septembre 2021

Laurent Houitte, aux quatre vents
Il a fondé le club de chefs d'entreprise Kite & Connect et son sommet, le B2B Kite Summit, qui réunit à partir de ce vendredi plus de 300 entrepreneurs à Dakhla, Laurent Houitte prône le networking sur fond de déconnexion en kitesurf.

Le menu reste le même : plus de 300 entrepreneurs ; des tables rondes (sur les datas, les cryptomonnaies, la liberté d’entreprendre...) des échanges formels et informels, et, bien sûr, la possibilité de pratiquer le kitesurf, matin, midi et soir. Pour la quatrième édition de son B2B
Kite Summit, séminaire professionnel qui se tient de ce vendredi jusqu’au mardi 28 septembre à Dakhla, dans le Sahara Occidental, Laurent Houitte mise encore et toujours sur des interactions authentiques. « Je veux montrer qu’on peut faire des choses sérieuses sans se prendre au sérieux », résume ce Parisien de 48 ans, le regard clair, et une mine hâlée qui trahit sa fréquentation assidue des spots de kitesurf venteux et ensoleillés. Se défendant d’être l’initiateur d’une parenthèse à seule visée ludique, cet ingénieur télécoms précise que « 50 millions d’euros ont été générés, via des contrats ou des rachats de sociétés, lors des deux dernières éditions » de son salon.
Ce père de trois enfants, qui pratiquent tous le kitesurf, fut happé par les sports nautiques dès son plus jeune âge. Fils de pharmaciens, né à Rouen, il choisit « des études longues pour retarder son entrée dans la vie active ». Après l’ESIGELEC (promo 95) et des stages ouvriers, en usine, chez Procter & Gamble, il entame un troisième cycle à l’Institut d’administration des entreprises. Puis l’interrompt, officiellement pour faire son service national au Conseil général de L’île de La Réunion. Démotivé, en réalité.
Conquis par « cette vie où l’on surfe le matin », Laurent Houitte, qui se définit comme « libre et hyperactif», se fait embaucher sur l’île Bourbon, chez Startel, PME de télécoms. Mais lorsque l’entreprise est rachetée, l’excès de tâches administratives l’incite à rentrer en Métropole. Il y intègre PPR (devenu Kering), puis l’éditeur de logiciels allemand Wincor Nixdorf. Douze ans durant, il gravit les échelons jusqu’à se hisser au poste de directeur communication et marketing Europe. Et se prend de passion pour le retail, qu’il explore chez ses clients.
Dans le même temps, « la crise de la quarantaine approchant», cet homme affable, au tutoiement facile, adepte du look chemise et baskets blanches, sent poindre l’envie d’entreprendre. Ainsi s’essaye-t-il à l’hôtellerie dans le Nordeste du Brésil, « une posture de Robinson Crusoé » dont il se lasse rapidement. Il lance alors, en France, la société de conseil en marketing I Love Retail.
« Nous apportions la dimension métier à des entreprises qui ne maîtrisaient pas les codes du commerce », se souvient l’entrepreneur, à l’origine, avec Catherine Barba, de la soirée The NRFrench Party, organisée à New York en marge du NRF, grand-messe mondiale du retail. De cette première expérience entrepreneuriale, ce fan de la Coupe de l’America retient aussi les moments de solitude «face à la croissance, la comptabilité, les recrutements... » D’où l’idée de fédérer les chefs d’entreprise de façon alternative, voire sportive.
Devenu mentor à l’incubateur HEC, il crée donc, en 2014, le club Kite & Connect (qui fédère aujourd’hui 500 membres), puis son émanation événementielle, le B2B Kite Summit. Soucieux d’y attirer du sang neuf, Laurent Houitte a lancé, il y a quatre ans, le concours de start-up « Les Audacieux », dont les lauréats sont conviés à Dakhla afin d’étoffer leur réseau.(…)



7 septembre 2021

Xavier Pissot devient DGA de la ville de Tours
Quittant la DSI du département de la Sarthe, Xavier Pissot devient DGA notamment au numérique de la ville de Tours, chef-lieu d'Indre-et-Loire.
La ville vient de nommer Xavier Pissot directeur général adjoint aux ressources et moyens. Il a dans son périmètre le numérique et également les finances, les moyens généraux, la logistique, les achats, les affaires juridiques et la commande publique. Il était jusqu'à présent DSI du département de la Sarthe, dont le chef lieu est Le Mans, à quatre-vingt-dix kilomètres de Tours.
Ingénieur diplômé de l'ESIGELEC (promo 99), Xavier Pissot a également suivi un cursus de troisième cycle à l'ESCP Europe (2018-2019). Il a débuté sa carrière comme consultant chez Accenture (1999- 2004) avant de passer côté entreprises utilisatrices, en premier lieu dans le secteur privé. Entré chez le distributeur de mode masculine Brice comme responsable pôle études et développements informatiques en 2004, il en est devenu DSI en 2007. De 2010 à 2012, il est ensuite devenu DSI du Groupe Flo (Flo, La Coupole, Hippopotamus, Bofinger... aujourd'hui filiale du Groupe Bertrand). En 2012, il a changé d'orientation en rejoignant le secteur public et est devenu DSI du département de la Sarthe.





25 août 21

Velo3D élargit son équipe en Europe pour répondre à la demande croissante de fabrication additive métallique industrielle
Dans un contexte où la demande mondiale pour les pièces industrielles imprimées en 3D, de haute qualité ne cesse de croître, la société californienne Velo3D, Inc., un chef de file de la fabrication additive (FA) pour les pièces métalliques de valeur élevée, a annoncé la nomination de deux nouveaux cadres dans son équipe de direction, qui seront basés en Europe.
Le directeur général, le Dr Jose Greses , sera basé entre l’Allemagne et l’Espagne, tandis que le directeur des ventes, Xavier Fruh, sera basé en France. Ils rejoignent
Jon Porter nommé en début d’année au poste de directeur du développement commercial européen, et qui est basé au Royaume-Uni. (…)
Xavier Fruh est titulaire d’un master en génie électrique de l’ESIGELEC (promo 2003), et d’un M.B.A. de l’École supérieure de commerce de Strasbourg. Il bénéficie de plusieurs années d’expérience dans l’industrie de la soudure, et a récemment effectué un parcours de développement commercial en Europe pendant quatre ans avec AddUp, un groupe français spécialisé dans la technologie de FA.
« Je suis passionné par l’innovation et la technologie », confie M. Fruh. « J’ai à cœur d’aider nos clients à surmonter les limites de la fabrication traditionnelle et de leur permettre de tirer parti de tout ce que la FA, qui est l’ingénierie de fabrication, de nouvelle génération, a à offrir. » (…)

 


8 juillet 2021

Originaire de Bernay, Mélanie décroche un contrat d'analyste à l'Agence spatiale européenne
Etudiante à Rouen et originaire de Bernay, Mélanie Barillère a décroché un CDD à l'Agence spatiale européenne, aux Pays-Bas, où elle travaillera sur des données recueillies par des satellites.
Mélanie Barillère a grandi à Bernay mais étudie dans l'agglomération rouennaise. Elle a postulé sans trop y croire, mais ça a marché ! Actuellement en apprentissage à l'ESIGELEC, l'école d'ingénieur de Saint-Etienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), et spécialisée dans le traitement de données informatiques à grande échelle, Mélanie Barillère (promo 2021), 23 ans, s'apprête à rejoindre l'Agence spatiale européenne (ESA) comme analyste. "C'est une chance, je trouve ça exceptionnel", sourit l'étudiante, bientôt diplômée.
Une chance d'autant que Mélanie, au départ, s'intéresse à l'ESA et à ses offres un peu par hasard. En début d'année, l 'Agence lance une campagne pour recruter des astronautes , un parcours qu'a suivi le Normand Thomas Pesquet en son temps.
Mélanie envoie donc un CV et une lettre de motivation ... et elle reçoit un mail : "Je me dis que ce doit être une réponse automatique, mais en fait non je lis : 'Vous êtes conviée à un entretien de motivation de 15 minutes dans deux jours' Comment ça dans deux jours" , rigole-t-elle.
L'étudiante bachote tout ce qu'elle peut et passe le jour J un entretien en visio "ultra-intense" en anglais, avec trois interlocuteurs. Mais le jury reste bienveillant et s'intéresse à son parcours. "Je ne suis pas déçue de moi, mais ça me parait bizarre cette histoire... Et au final, un mois après, je reçois un autre mail !", raconte Mélanie, qui apprend qu'elle est conviée à un deuxième entretien de motivation.
Finalement, c'est au mois de juin qu'elle reçoit la réponse définitive : elle décroche un CDD d'un an pour travailler à l'ESA à Noordwijk , aux Pays-Bas. Là-bas, celle qui a grandi à Bernay (Eure) sera notamment chargée des données recueillies par les satellites. "Je vais travailler sur leurs données pour les visualiser, les analyser, ou des fois, les nettoyer", résume-t-elle.(…)

Retour