Découvrez le portrait de Marie Sand’Homme, étudiante à l’ESIGELEC en 4ème année et Présidente du Bureau des Sports. 
                          Un début d’étude en médecine
Après l’obtention de mon baccalauréat, j’ai décidé de continuer mes   études en médecine. Malheureusement, cette voie n’a pas abouti et je me   suis tournée vers mon second intérêt : l’ingénierie. Ne sachant pas   exactement vers quel domaine me diriger mais ayant la volonté de produire une énergie plus verte, l’aspect généraliste de l’ESIGELEC, tournée en plus vers l’électrique, m’a immédiatement attirée et j’ai donc intégré sa prépa en 2021.                         
... mais une passion pour l’automobile 
                         Étant, malgré tout, passionnée par l’automobile et voulant allier   passion et intérêt d’innover pour l’environnement dans mon futur   métier, je souhaiterais me tourner, après mes études, vers le sport automobile et la formule 1.   Ce monde, milieu vu comme « anti-écologique », peut paraître   contradictoire avec l’envie de développer une voiture plus respectueuse   de l’environnement mais ce sport est un véritable laboratoire,   possédant les moyens pour innover, imaginer et développer la voiture de   demain. Notre diplôme, on le construit, et pour atteindre mon objectif,   j’ai décidé de prendre la mécatronique en tant que dominante pour   élargir ma culture et améliorer mes compétences dans ce domaine. De   plus, tout au long de notre cursus, nous faisons des choix pour étoffer   notre profil. Académiquement avec le choix de dominante, la destination   à l’international mais aussi l’implication associatif que l’on peut   avoir.
                         Sortir de sa zone de confort en 4ème année
                         Pour ma quatrième année, pour sortir de ma zone de confort et combattre ma timidité, je me suis engagée avec le Bureau des Sports de l’école en tant que présidente.   Cette expérience renforce également mon leadership et ma capacité à   travailler en équipe. Mais permet aussi une représentation féminine dans   un rôle stéréotypé masculin dans un milieu également dominé par   l’homme. L’ingénierie est encore un domaine à dominance masculine mais   sa féminisation est nécessaire à tous niveaux de la société pour   apporter un nouveau souffle et que l’ingénierie soit à l’image de la   société. Pour cela il ne faut pas hésiter, car les opportunités de   formations et de carrières exceptionnelles sont immenses; il faut oser   et se lancer !