L'@ctu de l'ESIGELEC
Octobre 2024 - n°47
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Témoignage de Marie Sand’Homme

Découvrez le portrait de Marie Sand’Homme, étudiante à l’ESIGELEC en 4ème année et Présidente du Bureau des Sports.

Un début d’étude en médecine

Après l’obtention de mon bacca­lauréat, j’ai décidé de continuer mes études en médecine. Mal­heureusement, cette voie n’a pas abouti et je me suis tournée vers mon second intérêt : l’ingénierie. Ne sachant pas exactement vers quel domaine me diriger mais ayant la volonté de produire une énergie plus verte, l’aspect géné­raliste de l’ESIGELEC, tournée en plus vers l’élec­trique, m’a immédiatement attirée et j’ai donc intégré sa prépa en 2021.

... mais une passion pour l’automobile

Étant, malgré tout, passionnée par l’automobile et voulant allier passion et intérêt d’innover pour l’environne­ment dans mon futur métier, je souhaiterais me tourner, après mes études, vers le sport automo­bile et la formule 1. Ce monde, milieu vu comme « anti-écologique », peut paraître contradictoire avec l’envie de développer une voiture plus res­pectueuse de l’environnement mais ce sport est un véritable laboratoire, possédant les moyens pour innover, imaginer et développer la voi­ture de demain. Notre diplôme, on le construit, et pour atteindre mon objectif, j’ai décidé de prendre la mécatronique en tant que dominante pour élargir ma culture et améliorer mes compé­tences dans ce domaine. De plus, tout au long de notre cursus, nous faisons des choix pour étof­fer notre profil. Académiquement avec le choix de dominante, la destination à l’international mais aussi l’implication associatif que l’on peut avoir.

Sortir de sa zone de confort en 4ème année

Pour ma quatrième année, pour sortir de ma zone de confort et combattre ma timidité, je me suis engagée avec le Bureau des Sports de l’école en tant que présidente. Cette expérience renforce également mon leadership et ma capa­cité à travailler en équipe. Mais permet aussi une représentation féminine dans un rôle stéréotypé masculin dans un milieu également dominé par l’homme. L’ingénierie est encore un domaine à dominance masculine mais sa féminisation est nécessaire à tous niveaux de la société pour apporter un nouveau souffle et que l’ingénierie soit à l’image de la société. Pour cela il ne faut pas hésiter, car les opportunités de formations et de carrières exceptionnelles sont immenses; il faut oser et se lancer !

 


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