À Crédit Agricole Consumer Finance, les carrières valent de l'or.
Banque et digital font très bon ménage, la preuve au Crédit Agricole Consumer Finance. La filiale du groupe consacrée au crédit à la consommation ne cesse de développer ses activités numériques. Témoignage de
Sébastien Mariage (ESIGELEC
promo 2000 et CENTRALE-SUPELEC),
directeur de l'IT, du digital, de la data et de l'innovation de la filiale.
Crédit Agricole Consumer Finance, une filiale consacrée au crédit à la consommation. L'essentiel en quelques mots ?
Tout le monde connaît le Crédit Agricole. Dixième banque mondiale, c'est un acteur majeur du développement bancaire. Crédit Agricole Consumer Finance est une entité spécialisée dans le crédit qui accompagne la consommation ou les projets familiaux des clients. Nous sommes présents en France avec la marque Sofinco, mais aussi dans dix-sept autres pays européens avec différentes marques. Au total, nous avons 15 millions de clients. Nous offrons donc beaucoup d'opportunités de développement à l'international, ce qui est plutôt plaisant pour des étudiants ou jeunes diplômés ! Enfin, notre modèle se base sur le financement en direct des clients qui souscrivent des crédits à la consommation, mais nous avons aussi des partenariats avec de grandes marques comme Fnac Darty ou Apple pour financer sur le lieu de vente.
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En tant que directeur de l'IT, du digital, de la data et de l'innovation, quelles sont vos principales missions ?
Mon rôle est de faciliter la transformation digitale des différentes BU des dix-sept pays où nous sommes présents. Mon but : chercher le meilleur dans chacun des pays pour le partager sur les autres marchés. En tenant compte des différences culturelles qui peuvent exister entre les différents pays où nous exerçons.
La banque, un secteur visé dès votre école d'ingénieurs ?
Je ne savais pas ce que je voulais faire. J'ai même fait plusieurs écoles pour de me nourrir intellectuellement. Je suis arrivé au Crédit Agricole par le Crédit Lyonnais. C'était le projet entrepreneurial qui me plaisait. Je n'y connaissais rien, mais j'avais envie de participer à une aventure humaine, et de construire un projet nouveau. J'ai vécu la reconstruction de LCL sans jamais m'ennuyer. Au sein du groupe Crédit Agricole, j'ai pu changer de métier tous les deux ou trois ans sans jamais avoir eu besoin de lever la tête. Il y a très peu de turnover sur nos embauches car nous avons toujours l'impression de découvrir autre chose.
Bolloré Transport & Logistics : La culture de l'innovation et le goût de l'entreprenariat au service de la DSI !
« Rejoignez un groupe familial et multiculturel qui a mis la DSI au coeur de sa stratégie » lance aux jeunes talents Baladji Soussilane (ESIGELEC promo 91), Directeur des Systèmes d'Information de Bolloré Transport & Logistics . Ce manager passionné d'informatique nous partage sa vision du métier et nous livre les conseils pour y arriver !
L'entreprise compte 35 000 collaborateurs de 131 nationalités. Nous sommes spécialisés dans le transport et la logistique à l'international avec une présence dans 109 pays. Chaque année, nous transportons 800 000 conteneurs de marchandises d'un point à l'autre du monde et investissons plus de 250 millions d'euros dans des projets d'infrastructure. En matière de systèmes d'information, nos solutions couvrent le backoffice, les solutions digitales client, et la cyber sécurité. Animés par une forte volonté d'innover, nous travaillons avec nos clients dans le cadre de projets communs et nous menons des partenariats de co-développement autour des objets connectés, de la blockchain, et de la data. Notre plateforme décisionnelle DMP associée à notre outil digital client, forment ainsi un bel exemple de notre capacité à proposer une solution globale qui permet d'organiser et de prédire avec précision l'exactitude d'arrivée de nos marchandises.
Votre fonction de DSI est passionnante parce que... ?
La DSI est au coeur du développement du groupe et joue un rôle central au sein de notre organisation. Nous avons une approche à la fois globale et locale qui nous permet de travailler à l'amélioration et la digitalisation de nos processus, à la simplification de l'écosystème de nos applications et au développement de nouvelles collaborations à l'international. Notre ADN se définit autour de trois mots : l'innovation, l'entreprenariat et l'inclusion. En quatre ans, nous avons mené des transformations majeures de notre modèle. Nous avons d'une part créé des pôles technico-fonctionnels solides qui pilotent la stratégie SI par direction métier, et d'autre part globalisé un certain nombre de compétences au travers de plateformes de delivery. Nous nous sommes attachés notamment à mettre un accent important autour du pilotage et de la gouvernance de notre système d'information. Nous avons par exemple mis en oeuvre un centre de développement interne basé à Ho ChiMinh, au Vietnam où toutes nos applications sont développées en mode agile, ainsi qu'un centre d'expertise et de support à nos applications
basé à Abidjan, en Côte d'Ivoire. Nous avons aussi externalisé un certain nombre d'activités en Offshore et en Nearshore via des partenaires. (…)
Vos conseils de boss passionné ?
La DSI est l'une des rares fonctions totalement transverses. Tous les métiers de l'entreprise sont couverts par les systèmes d'information : de la conception de produits à la production en passant par la distribution, la commercialisation et la finance. Mes seuls conseils de carrière sont de rester curieux, pragmatique, ouvert à toutes les opportunités, être rigoureux, engagé, et surtout prendre du plaisir à faire ce que l'on fait. Le reste suivra. (…)
Mars 2022
Portrait du commissaire de troisième classe Anne, officier sous contrat de la promotion OSCC21A
Je suis le
commissaire de troisième classe Anne, j’ai 28 ans, je suis officier sous contrat et actuellement en formation à l’ECA.
Quel est votre parcours académique ?
J’ai un diplôme d’ingénieur généraliste, obtenu à l’ESIGELEC de Rouen (promo 2016), avec une spécialité « ingénierie des systèmes médicaux ». Après ma formation d’ingénieur, j’ai choisi de développer et de compléter mes connaissances en intégrant le master 2 « Management des Technologies Interactives 3D » de Laval. Ce parcours m’a apporté les connaissances spécifiques aux domaines innovants de la réalité virtuelle/augmentée (RV/RA).
Quel poste occupez-vous en tant que commissaire des armées ?
J’occupe le poste d’ingénieure biomédical au sein de l’Etablissement Central des Matériels du Service Santé des Armées (ECMSSA).
Quelles expériences professionnelles aviez-vous déjà vécues auparavant ?
Ma formation à l’ESIGELEC s’est terminée par un stage de 6 mois dans le groupe hospitalier Universitaire Paris Nord Val de Seine. Alternant principalement entre les hôpitaux Beaujon et Bichat, j’ai eu sous ma responsabilité la gestion des achats et le suivi de la maintenance des équipements du pôle 2I (Infection – Immunité). Après mon master 2 J’ai travaillé à l’INSERM de Lyon, laboratoire en neurosciences où j’ai créé des applications, en réalité virtuelle, pour la recherche en collaboration avec des chercheurs et des praticiens. Enfin j’ai continué le développement informatique chez Altran Toulouse, pendant 2 ans, en tant que consultante dans le domaine de la RV/RA.
Qu’est-ce qui vous a poussé à intégrer le commissariat des armées ?
Je suis de nature curieuse et j’aime découvrir de nouveaux domaines de compétences. Souhaitant retourner dans l’ingénierie biomédical, j’ai prospecté et trouvé une offre d’emploi au sein du commissariat des armées. Intégrer ce corps est pour moi l’occasion d’appréhender le milieu militaire tout en exerçant un métier qui me plaît. C’est d’ailleurs dans ce contexte que ce dernier prend tout son sens. En effet, j’aide à l’achat d’équipements biomédicaux qui seront envoyés en opérations extérieures pour soigner les soutenus.
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12 février 2022
À Rouen, Hugo Paradis anime une émission sur Twitch avec une journaliste de France Info.
Cofondateur de Komeo et coanimateur de l'émission Twitch « Pour de Faux », le jeune Rouennais Hugo Paradis (25ans) semble être sur tous les fronts. Il va sans dire qu'
Hugo Paradis est un fonceur. Toujours dans l'action, le jeune homme originaire de Pordic (Côtes-d'Armor) est arrivé il y a cinq ans à Rouen pour entamer ses études d'ingénieur à l'ESIGELEC (à Saint-Étienne-du-Rouvray). À peine diplômé
(promo 2020), il fonde avec son ami Antony Rouaud (promo 2020), Komeo , un créateur de contenu digital pour les réseaux sociaux à destination des structures qui n'ont pas forcément accès à ce genre de communication.
Offrir de la visibilité en période de crise
C'est notamment à l'été 2020 que Komeo s'est fait connaître. Les deux jeunes entrepreneurs décident de se lancer dans un marathon de vidéos pour offrir de la visibilité aux commerçants rouennais, impactés par la crise sanitaire. Pendant une semaine, à un rythme effréné, ils produisent gratuitement une quarantaine de vidéos promotionnelles.
« Nous n'avons pasbeaucoup dormi , raconte celui qui est passionné par la création vidéo depuis son adolescence. On a fait ça avec les moyens du bord. Mais finalement, ça a très bien pris. » Un pari gagnant puisque l'événement digital permet à Komeo de se faire repérer par la Métropole qui propose aux deux jeunes de rejoindre sa pépinière d'entreprises Seine Innopolis et de se faire accompagner par les services de Rouen Normandie Création « Ça fonctionne super bien. On est très fiers de ce qu'on a réalisé en un an » , sourit Hugo Paradis, alors que Komeo a soufflé sa première bougie le 28 janvier 2022.
Une émission pour de faux mais bien réelle
Depuis septembre dernier, il est possible de retrouver Hugo Paradis sur Twitch (une plateforme de diffusion de contenus vidéo en direct sur Internet) dans l'émission Pour de faux. Tous les mardis midi, il partage le plateau avec la journaliste de France Info Myriam Bounafaa, pour une émission d'information d'environ deux heures durant laquelle ils reçoivent des invités. « Myriam m'inspire, poursuit le jeune homme. Elle est toujours avide de nouveautés et de challenges. » Hugo Paradis et Myriam Bounafaa se sont rencontrés virtuellement pendant le premier confinement grâce à l'application Clubhouse. «L'émission se construit au fur et à mesure. J'apporte la technique et Myriam le côté éditorial. On est une toute petite émission indépendante et nous la construisons avec les gens qui la regardent », conclut Hugo Paradis.
31 janvier 2022
Cyril Marteaux est le nouveau directeur de la Formation et de l'International de l'ESIGELEC
Après avoir occupé pendant plus de 15 années le poste de directeur des Relations Internationales à l'ESIGELEC de Rouen (Saint-Etienne-du-Rouvray),
Cyril Marteaux est promu directeur de la Formation et de l'International. Ingénieur diplômé de l'ESIGELEC
(promo 97), il y est enseignant permanent depuis 25 ans dans le domaine des systèmes à microprocesseurs. Il a notamment réalisé pour l'ESIGELEC, des missions de développement en sous-traitance portant sur la mise en oeuvre de systèmes de supervision de variateurs de vitesse au sein de la société Télémécanique à Val-de-Reuil. Il a également piloté pendant 3 ans des programmes de formation professionnelle continue, qui ont accueilli des techniciens de maintenance en systèmes automatisés de la société Bayer Elastomères en Seine-Maritime.