février 2018
Dassault Systèmes : redistribution des rôles au comex
(…) DSI et DRH, Laurence Barthès (ESIGELEC – promo 87), ingénieure au background très technique, allie depuis 2012 deux fonctions aux antipodes mais pas contradictoires. Elle s'est vu confier pour mission l'accélération de la mutation numérique de l'entreprise. Une centaine de nationalités y cohabitent et 15.000 personnes, dont 4.000 en France, sont concernées.
Lire l’article sur https://business.lesechos.fr/directions-generales/gouvernance/organigramme/0301303082345-dassault-systemes-redistribution-des-roles-au-comex-318995.php
février 2018
Les objets connectés en santé par Laure Beyala
Pouvez-vous présenter à nos lecteurs la génèse de cet ouvrage?
Laure BEYALA : Je suis Ingénieure biomédicale diplômée de l'ESIGELEC (promo 2013). Ensuite, j'ai effectué une thèse professionnelle à Centrale Paris en 2015, après avoir travaillé dans de nombreux laboratoires et industries biotechnologiques.
Et votre trajectoire professionnelle ?
J'ai été consultante dans plusieurs laboratoires et, aujourd'hui, je suis chargée de recherches cliniques dans le domaine de la santé connectée à l'hôpital Bichat de Paris.
Est-on en train d'assister à un big bang de la médecine avec des objets connectés issu de l'univers du bien-être qui colonisent la sphère de la santé ?
Oui, en effet, car cela ne va faire que s'accentuer dans les prochaines années. Souvenez-vous avec quelle ampleur les smartphones ont rapidement rendu obsolètes les appareils photo-numériques ainsi que les systèmes de GPS. C'est de la même façon que l'industrie de la santé numérique regorge aujourd'hui d'une pléthore d'objets connectés. Par exemple, les thermomètres et les tensiomètres connectés sont de plus en plus plébiscités par des professionnels de santé.
(…)
mars 2018
« La passion de transmettre » de Gérard Mosali
Installé à Bourg-Pol, créateur et animateur de l'association Ken'istor, mais aussi impliqué dans la formation des jeunes, notamment à travers ses ateliers « job d'été » avec l'espace emploi, Gérard Mosali publie un ouvrage sorti de sa longue expérience.
« A l’aube de mon dernier quart-temps, je me suis permis cette fantaisie : publier une lettre à tous les transmetteurs de savoir de la formation professionnelle. Ma crédibilité : plus de 87 000 stagiaires, dont 550 animateurs pédagogiques qui m’ont supporté » , plaisante Gérard Mosali.
En effet, après quarante années d'expérience dans le monde industriel, dont vingt-deux dans la formation, ingénieur ESIGELEC (promo 67), Gérard Mosali a décidé de partager sa passion, restée intacte. « C'est tout le décryptage d'un métier, connaissance de soi, technicité du verbe, gestion du temps, d'un groupe, avec en toile de fond l'outil pédagogique. »
Lire l’article sur https://www.ouest-france.fr/bretagne/muzillac-56190/la-passion-de-transmettre-de-gerard-mosali-5643585
avril 2018
e-novACT accompagne les entreprises dans leur transition digitale grâce aux objets connectés et à l’intelligence Artificielle. Cette start-up fait partie de la sélection "100 start-up où investir en 2018” de Challenges.
Trois ingénieurs aguerris- qui ont chacun tâter à l'entrepreneuriat- et qui se retrouvent sur un projet disruptif sur un marché en pleine croissance, celui de la sécurité. Philippe Serenne(Centrale Nantes), Eric Page (ESIGELEC, promo 85) et Karol Alexander Secret (UPMC, Paris 6) cumulent " plus de 50 ans d'expérience " mise à profit depuis avril 2017 " pour délivrer des solutions opérationnelles dans des contextes exigeants". L'équipe a mis au point un système global baptisé " Smart Safety ". " Notre originalité est de fournir une solution clé en main à l'industriel qui va du capteur en passant par la transmission jusqu'au traitement des données en back end. Nous bénéficions d'une très bonne traction commerciale et sommes déjà rentables " affirment les fondateurs. E-novACT, a signé un partenariat avec Orange pour les transmissions de données et remporté plusieurs appels à projets, notamment à la SNCF et chez EDF.
Lire l’article sur https://www.challenges.fr/start-up/e-novact-accompagne-les-entreprises-dans-leur-transition-digitale_575435
avril 2018
Charles NOUBOUE: cofondateur et CEO de Fitle
« J’ai créé une appli pour faire des essayages virtuels » (…)
« J’obtiens un bac S (mentionTrès Bien) à 16 ans. Je rejoins un oncle à Rouen (76), afin de poursuivre mes études en France. Entré à l'ESIGELEC (promo 2010), je participe à la junior entreprise de l'école pour comprendre comment fonctionne le monde de l'entreprise.
(…) Après une expérience à la Fnac puis chez BNP Paribas, je décroche un stage de fin d'études au Lab Orange. Je m'occupe d'une application pour smartphone. (…)
Cela me donne envie d'entrer en école de commerce. Je choisis l'Essec pour avoir une meilleure formation d'entrepreneur.
En attendant de trouver une idée de business, je sollicite Ernst & Young. J’ai la conviction que la finance peut m’apprendre à me poser les bonnes questions et à aller vite.
(…) Puisque je travaille beaucoup, je n'ai pas le temps de faire du shopping. Je me rabats sur les achats en ligne: frustrant ! Je remarque que les tailles des vêtements diffèrent d'une marque à l'autre. Difficile de bien faire son choix. Je fais une étude de marché afin de savoir si ce souci est récurrent sur Internet. Grâce à linkedin, j'entre en contact avec des spécialistes pour chercher une solution viable. L'idée : développer une appli capable de créer l'avatar en 3D d'une silhouette, à partir de deux photos scannées avec l'appareil photo d'un smartphone. Cela permet aux client(e)s de faire des essayages virtuels. Simple et pratique! (…) Nous comptons parmi nos clients : Vente-privée.com, Armor-Lux... Depuis janvier, nous avons un service "uniformes" pour la police et la gendarmerie.
(NDLR : Charles Nouboue fait partie des « 30 under 30 » 2018 les plus influents, remarqués par le magazine Forbes, catégorie Retail &Commerce)
https://www.forbes.com/30-under-30-europe/2018/retail-ecommerce/#758912174188
avril 2018
Après avoir participé au CES (Consumer Electronic Show) à Las Vegas début janvier, la start-up rouennaise Siatech se lance dans la commercialisation de sa commande intuitive.
D’ici à la fin février, Siatech aura installé sa première commande intuitive baptisée "Com’Hand" chez un grand groupe industriel. L’aboutissement d’un travail de recherche et développement entrepris depuis deux ans par Frédéric Hamain, Nicolas Iriart et Elie Peeters, trois ingénieurs diplômés de l’ESIGELEC (promo 2014). Leur produit : une commande intuitive qui détecte les gestes et les mouvements, sous forme d’un bracelet relié au doigt par une simple bague, connectée à un boîtier installé sur une machine.
(…) C’est donc cette innovation, pour laquelle la start-up a bénéficié d’une levée de fonds en juin 2017, que ses concepteurs ont présenté aux visiteurs du CES (Consumer Electronic Show), le plus grand salon mondial de l’électronique, à Las Vegas. Du 7 au 14 janvier, sous la bannière Normandy French Tech. Nicolas et Frédéric ont sur place noué plus de 200 contacts. (…)
De grands groupes industriels tels Geodis, Saint-Gobain ou encore Renault Cleon se sont d’ores et déjà montrés intéressés par les tests pilotes réalisés par Siatech, la start-up rouennaise qui revoit entièrement l’interface homme-machine.
Lire l’article sur https://www.rouen.fr/initiative/2018/siatech-revolutionne-monde-commande-industrielle
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